dimanche 28 mars 2010
Ramlet El Baïda
Aujourd'hui à Ramlet El Baida (Le sable blanc) la seule plage qui persite dans un Beyrouth asphyxié, ça reste malgré la pollution et un sable pas vraiment nickel un privilége de s'y ballader un jour de mars.
mardi 23 mars 2010
J'ai déjà vécu 2 guerres, une en 1982 une en 2006
En août 2006, une guerre éclair. Dés la fin des hostilités je suis allée au quartier géneral du Hezbollah, j'avais besoin d'inspecter, regarder...On avait besoin de témoigner à ce moment là, même si c'était maladroit. Aujourd'hui je peux être sûre d'une chose cette guerre a changé quelque chose en chacun de nous, j'ai eu l'impression qu'on avait tous vieilli d'un coup, et c'est peut-être pas si mal!!
lundi 15 mars 2010
The XX, it's been a while...
It's been a while
And you've found someone better
But I've been waiting too long to give this up
The more I see, I understand
But sometimes, I still need you
Sometimes, I still need you
I was struggling to get in
Left waiting outside your door
I was sure
You'd give me more
No need to come to me
When I can make it all the way to you
You made it clear
You weren't near
Near enough for me
jeudi 11 mars 2010
Centre commercial en ruine-Zaatari commercial center-Saïda
Les ruines contemporaines m'ont toujours fasciné est particuliérement celles qui se trouvent hors de Beyrouth. J'ai un faible pour les ruines des années 70 ou 80. Ça correspond tellement à notre histoire entremêlée de guerre et de paix et de projets fous. La fameuse résilience du peuple libanais qui continuait à investir, mettre en oeuvre des projets qui peuvent nous paraître fous aujourd'hui sachant l'insécurité autant humaine qu'économique que vivait ce pays à ces époques.
Saïda ville ancestrale qui a plus de 35 siécles derriére a évolué à son rythme. Une cinquantaine de milliers d'habitants, des problémes écologiques assez graves mais un charme qu'on ne retrouve plus si facilement au Liban aujourd'hui. Un centre commercial à moitié abandonné à quelques centaines de métres du vieux port m'a toujours attiré, pas une seule fois ou je ne vais à Saïda et je ne passe le voir. L'histoire est assez confuse, un entrepreneur de l'époque avait du croire bon ouvrir la ville à un mode de vie importé d'ailleurs. 3 étages une centaines de boutiques, un ascenceur comme je n'en ai jamais vu, des tapis roulants. Projet qui date de 82 selon quelques locataires qui hantent cet immense complexe. L'histoire dit que l'entrepreneur avait plus ou moins disparu et donc il me répétait en arabe "ce centre n'a jamais eu de chance"!!
mercredi 10 mars 2010
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