Une chambre baignée de lumiére, J dans l’absence et la lumiére, des images cataclismiques passant en boucles et Beyrouth lancinante dans son abandon.
Je relis et lis Lipstick Traces, punk ça n’existe plus. Pourtant l’extrême nous traverse toujours de milles façons mais reste dans une case bloquée. Pas de federation de la violence.
“Quand vous êtes poussé, poussez vous aussi. Quand une poussée nie votre existence, niez la poussée. Je ne me sentais distant de rien, supérieur à rien…”Greil Marcus
Et maintenant je parcoure des rues grises baignées de lumiére. Rien ne m’atteint, distante et présente à la fois.
Punk, punk punk kepun me dit X On est tous kepun dans l’âme….mais c’est si loin maintenant
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire